Sayu Inu femelle
Nombre de messages : 2 Age : 33 Attirance sexuelle: : Hetero Date d'inscription : 13/06/2007
Feuille de personnage Métier:
| Sujet: Attend un maitre Dim 17 Juin - 14:55 | |
| La jeune Inu était replié au fond de la minuscule cage qu'elle occupait. Elle avait replié ses genoux contre sa poitrine et regardait dans le vague. Sayu tenta de se remuer et se mit à quatre pattes pour avancer jusqu'au barreaux. Là elle s'y cramponna et cria. Elle n'en pouvait plus d'être dans cette prison au dimensions si réduites.
_Eh il y a quelqu'un?! Faites moi sortir de là s'il vous plaît!!!! | |
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Alatarielle Hybride femelle (Liberée)
Nombre de messages : 13 Age : 33 Attirance sexuelle: : Hétérosexuelle Appartient à: : -- Plus personne désormais -- Maître de: : Shôta Date d'inscription : 17/06/2007
Feuille de personnage Métier: Responsable du Taylia's news
| Sujet: Re: Attend un maitre Dim 17 Juin - 15:48 | |
| [ Eeeeh dis, c'est pas 10 lignes par messages minimum? ] Aujourd’hui, la jeune hybride récemment libérée avait décidé d’aller faire un tour, en ville, histoire de sortir de son logis. Elle s’était promenée dans le quartier Nord de la ville de Taylia, en quête de quelque chose à faire pour passer la journée qui venait de commencer. Il était tout de même tôt, neuf heures et demie pour préciser. On pouvait voir les marchands qui commençaient à ouvrir leur boutique. Mais aucun de ces magasins n’avaient attiré l’attention de l’hybride. Elle continuait donc de errer sans but, zigzagant à travers les rues de la ville. Après avoir tourné un coin de rue, elle aperçut, entourer de nombreux magasins, une animalerie. C’était probablement la même chose que la réserve d’hybrides dans laquelle elle avait autrefois été enfermée. Elle décida d’y entrer pour y jeter un petit coup d’œil.
Elle se dirigea donc vers cette boutique qui recelait de gens probablement enfermés en cage. Lorsque la porte s’ouvrit, un petit son de clochette retentit, attirant aussitôt l’attention des prisonniers. À sa grande déception, ce qu’elle vit dès que la porte fut ouverte confirma se qu’elle pensait. Cet endroit était rempli de cages occupées. Elle resta un instant dans l’entrée, tous les regards sur elle, la suppliant de les faire sortir de cette prison infecte. Elle se contenta de soupirer et de commencer à se promener à travers les allées, juste pour voir si elle en achèterait un ou une. Il n’y a pas si longtemps de cela, c’était elle qui était dans une cage, suppliant les gens de la faire sortir de sa cage. Elle s’arrêta finalement devant une cage où était enfermée une jeune inu en larme. Elle la regarda un instant et se pencha vers elle, s’approchant des barreaux auxquelles la prisonnière s’agrippait.
- Je peux te faire sortir d’ici, si tu veux, répondit-elle à la jeune inu qui criait il y avait de cela quelques secondes.
Alatarielle l’observa un instant. La inu était bien évidemment sous vêtue et on l’avait apparemment traité sans modération, on pouvait le voir à cause des quelques graffignes qu’elle avait un peu partout sur le corps. Comment pouvait-on être si méchant avec quelqu'un? Elle regarda un homme un peu plus loin, vêtu d’un habit spécial. Il portait l’habit des traqueurs du village et c’était probablement lui qui avait fait ces blessures à la jeune prisonnière. Elle le regarda un instant d’un regard de glace qui exprimait toute la haine qu’elle avait envers ces gens. Se sentant probablement observé, celui çi s’était tournée vers l’hybride, la regardant froidement. Il du reconnaître sa race rapidement puisqu’elle possédait de longues oreilles pointues, ce qui la différenciait des humains. Il du comprendre qu’elle avait été libéré sinon elle ne serait jamais venu dans cet endroit et il continua sa discussion avec le vendeur.
Était la bonne décision pour elle d’adopter quelqu'un ? Peut-être que cela entraînerait un trop gros choc pour elle. Mais d’un côté, elle comprenait encore mieu que n’importe quel humain se que pouvait ressentir cette inu, là, dans sa cage. Après avoir réfléchi tout en continuant de regarder la inu dans les yeux, elle prit enfin sa décision. Elle l’adopterait. Peut lui importait si cela pourrait avoir un mauvais effet sur elle-même. Étant très maternelle, Alatarielle en pouvait pas supporter de voir des gens plus jeunes que elle souffrir. Elle aurait bien voulu tout les adopter mais elle savait qu’elle ne pouvait pas. Elle se releva et tourna la tête vers le vendeur, qui devait lui aussi l’avoir remarqué. Bien qu’elle n’eu pas vraiment envi de parler à cette …chose… qui osait vendre des gens d’une autre race que la race humaine, elle lui fit signe de venir jusqu’à elle. Pourquoi devrait-elle se déplacer pour lui, après tout? Ce dernier s’approcha de elle, tranquillement. Tout comme le traqueur qui était derrière lui, à dévisager Alatarielle, il avait du remarquer qu’elle était une hybride. Il s’arrêta devant elle, gardant une certaine distance. Il s’éclairci la voix et releva la tête, comme s’il voulait se donner un air important. Il lui demanda sèchement, pour ne pas dire bêtement, se qu’elle voulait.
- Je souhaiterais vous l’acheter, avait-elle répondu en gardant un ton neutre mais qui démontrait qu’elle n’avait pas envie de partir une discussion avec lui.
Le vendeur s’approcha de la cage où était enfermée celle dont il s’apprêtait à vendre, bousculant par la même occasion la jeune hybride. Essayant de contenir la colère qui commençait à la submerger. Alatarielle le regarda déverrouiller la porte de la cage et l’ouvrir. La porte, aussi constituée de barreaux qui n’était apparemment pas lavés très souvent, émit un grincement en s’ouvrant, se qui fit frissonner Alatarielle. Elle se dépêcha de donner l’argent qu’elle devait au vendeur à celui çi avant qu’il reparte à son comptoir. Le gros vendeur continua alors sa conversation avec le traqueur qu’il avait du faire attendre un court moment, les deux jetant un coup d’œil aux deux jeunes femmes. L’hybride savait qu’ils parlaient en mal de eux mais en s’en fichait, elle avait qu’une seule envie : sortir de cet endroit au plus vite. Elle aida la inu à sortir de sa minuscule cage.
- Allez viens, on sort d’ici, lui avait-elle dit doucement en continuant de fixer froidement les deux hommes au comptoir. | |
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