Maëlis Celebrindal

Nom: Celebridal
Prénom: Maëlis
Âge: Elle vient tout juste d'avoir ses 15 ans
Attirance sexuelle: Hétérosexuelle

Histoire: Le 20 Juin 1992, des pleurs vint briser le silence de l’hôpital d’une ville bien lointaine à celle de Taylia. Maëlis Celebrindal venait de naître. Sa mère, encore tout en sang, réclamait déjà sa petite fille bien aimée, voulant enfin voir le visage de son enfant. Le père, lui, accoté sur le mur à coté de sa femme, regardait la scène sans dire un mot, souhaitant seulement retourné auprès de son fils dans une autre salle et repartir chez lui Le médecin lui apporta donc Maëlis, enveloppée dans une douce couverture blanche, et la plaça dans les bras de la mère. Les deux parent s’ayant déjà consulté, la mère, Katie annonça donc au médecin et aux infirmières le nom de son enfant, toute fière de pouvoir enfin la présenter aux autres. Depuis tant de temps elle souhaitait voir le visage de son enfant, se demandant à chaque jours à quoi elle ressemblerait, comment serait sa voix, bref, toutes les questions que la majorité des mères doivent se poser avant la naissance de leur enfant.

Quelques années passèrent, Maëlis maintenant âgée de trois ans. Son père en avait déjà assez de cet enfant qui, au grand malheur de ses parents, ne cessait de pleurer. Sa mère, bien qu’elle était également fatiguée du comportement de sa fille, essayait de convaincre le père, Dhaniel, que tout s’arrangerait bientôt, que tous les enfants étaient ainsi. Il fallait dire que l’ambiance chez la famille Celebrindal n’était pas des meilleurs pour un bébé. Le père, un homme froid et cruel, frappait régulièrement Katie lorsque quelque chose ne faisait pas son affaire. Elle était tout simplement une chose sur laquelle il pouvait se défouler. Katie, n’osant pas contredire son mari, se laissait battre sans dire le moindre mot.. Maëlis avait elle aussi eu droit à quelque coups mais beaucoup moin fort que ceux que sa mère endurait, son père ne voulant quand même pas la tuer car un bébé de cet âge était plus fragile. Aussi dans cette famille un peu violente, il y avait un autre enfant, le digne fils de son père. Celui çi, âgé de neuf ans, s’amusait lui aussi à frapper sa sœur lorsqu’elle pleurait. Tout se qu’il voulait, c’était de devenir un homme comme son père, voyant que sa mère faisait toujours se qu’il voulait. Mais malgré tout, il savait plus ou moin bien que c’était mal. Il savait que frapper les gens était pas bien mais si son père le faisait… ça ne devait pas être si mal. Bref, tous ces coups laissait bien sur quelques marque sur Maëlis mais lorsqu’elles étaient trop apparentes, Dhaniel ne laissait pas Maëlis sortir de la maison, ne voulant pas que le voisinage soit au courant de se qui se passait dans la maison.

Les années passèrent encore, le comportement du père n’ayant pas changé du tout, celui du frère ayant malheureusement empiré. Maintenant que Maëlis était âgée de treize ans, les coups qu’elle subissait étaient eux aussi plus grands. C’était drôle, comme si dans la maison, chaque homme avait une femme à battre. Dans ce cas çi, le frère s’occupait de la sœur et le père s’occupait de la mère. Son frère, lui, frappait maintenant sa sœur sans raisons. Il pouvait tout simplement passer dans le même couloir que elle le la plaquer dans le mur, lui cognant la tête contre celui çi. Comme sa mère ne pouvait rien faire pour l’aider, et que le père était pareil comme son bourreau, Maëlis ne pouvait donc que rester là à se faire frapper. Oh elle a déjà fugué une nuit, mais son frère devrait apparemment tenir à tout prit à garder son souffre douleur car il la retrouva bien vite, ayant fait le tour de la forêt durant toute la nuit jusqu’à se qu’il la trouve deux kilomètres plus loin de la maison. Cette nuit là, elle eu d’ailleur droit à la pire fessée de sa vie, celle çi la laissant inconsciente pendant presque une journée. Elle se réveilla au bau milieu de la nuit suivante, enchaînée au sous-sol, dans le noir total. Bien qu’elle était terrorisée, aucun son ne pouvait passer ses lèvres tremblantes, sachant que si elle criait, on viendrait à coup sur la voir mais pas pour les bonnes raisons. Elle s’était donc endormie après avoir passé des heures à pleurer en silence. Le lendemain matin, une personne vint la réveiller, une personne inconnue habillée en uniforme. Malgré qu’elle fût à moitié endormie et terrorisée en voyant tant d’inconnus chez eux, hommes et femmes., elle réussi tout de même à comprendre les mots que lui dit la femme devant elle, ceux çi étant comme une vraie délivrance pour elle.

- Allez viens petite! On va te faire sortir de cette maison

À partir de ce jour, une nouvelle vie commença pour Maëlis. Son père et son frère, tout se qu’elle sait sur eux c’est qu’ils se sont fait emmené dans un endroit qui s’appel prison. C’était, selon se que la madame qui l’avait détaché de ses chaînes, un endroit où on enfermait les méchants. Aussi, on la plaça, elle et sa mère, à l’animalerie de la ville. Étant donné que sa mère était plus vieille, on vint l’acheter avant elle. D’ailleur, elle ne sait pas aujourd’hui se que sa mère est devenu car Maëlis est rendu bien trop loin de sa ville natale maintenant. Celui qui l’acheta était un homme dans la soixantaine qui était en voyage dans cette ville car il avait de la famille dans le coin. La première chose à laquelle elle pensa fut que l’homme allait la frapper, comme son père et son frère le faisait avant de se faire enfermer. Malheureusement pour elle, ses craintes furent fondées. Au début, l’homme pouvait toujours être quelqu'un d’acceptable, la traitant normalement. Il décida le lendemain de l’achat de retourner chez lui, dans une ville nommée Taylia… une ville bien loin de sa ville natale. Le voyage pour elle se passa enfermé dans une grande boite en carton dans le coffre de la voiture de l’homme. Il n’avait même pas eu la gentillesse de la mettre en arrière de la voiture. Non, même pas. Dans le coffre de la voiture! Au bout de plusieurs heures, au moin une bonne dizaine, ils arrivèrent enfin à destination. Ce fut une très bonne nouvelle pour Maëlis d’apprendre que sa nouvelle maison était une vielle maison toute délabrée, celle çi étant digne des plus terrifiants films d’horreur.

Dès les premiers jours, la kotori pouvait voir un changement de comportement auprès de son nouveau maître. Celui çi devenait de plus en plus irritable à chaque jour qui passait. Il lui arrivait souvent de lui crier après mais il ne la frappait pas… pas encore. Pour la première semaine, la pire chose qui lui arriva fut qu’elle se fasse lancer une assiette par la tête mais comparé à se qu’elle avait vécu avant, ce n’était vraiment rien. Après déjà un mois il se mit à la frapper, commençant par de petit coup, la poussant en lui criant dessus, puis vint ensuite les plus gros coups. Je ne sais pas vous mais un coup de poing en arrière de la tête parce que la nourriture ne chauffe pas assez vite alors que la température est au maximum, ce n’est assez pas mérité peut-être. Pourtant cette situation lui arriva deux fois en tout. Un matin où, comme à l’habitude, elle devait le réveiller à neuf heures, Maëlis entra dans la chambre, retrouvant son maître dans le lit. Elle s’était approché tranquillement, disant timidement le nom de son maître afin que celui çi se réveil. Rien. Il ne se réveilla pas. Elle eu beau réessayer à plusieurs reprises, son maître ne bougeait toujours pas. Elle était donc grimpée sur le bord du lit pour pouvoir voir le visage de son maître. À sa grande frayeur, ses yeux étaient toujours ouverts, la bouche entre ouverte. Elle commença à paniquer, sachant que se n’était pas normal car, après avoir vérifié, son maître ne respirait plus. Maëlis avait donc couru jusqu’au téléphone et appela un ambulance. Quelques minutes plus tard, l’ambulance arriva déjà, emmenant son maître avec eux, celui çi couché sur une civière, un drap blanc par-dessus lui. Quelqu'un se chargea de lui expliquer que son maître était décédé, probablement d’une crise cardiaque pendant la nuit. On renvoya donc à nouveau Maëlis dans une animalerie, cette fois çi dans la ville de Taylia. Elle passa un an dans une cage et, maintenant qu’elle vient d’avoir ses quinze ans, elle attend toujours qu’on l’adopte.

Physique: Étant de petite taille et toute menue, cette jeune fille pourrait très bien passer pour une enfant. Elle aime bien aussi s’arranger en conséquence : s’habille de vêtements lui donnant un air plus jeune, aime bien se coiffer de différente manière pour lui donner un air enfantin et surtout, elle a le caractère pour. Bien que la plupart du temps elle coiffe ses cheveux avec deux rubans brun autour de deux mèches qu’elle laisse en avant de ses épaules, il lui arrive de se faire deux lulu haut. Elle ne sa maquille jamais, ne voyant pas l’utilité de se cacher derrière une couche de maquillage. Elle possède de magnifique yeux bleu comme l’océan, se qui lui a souvent valu des compliments, et aussi on peux y lire toutes les questions qu’elle se pose toujours mais qu’elle n’ose jamais demander. Ses cheveux, blanc comme neige, lui arrive un peu en bas de sa poitrine, qui, malgré son âge, n’est pas très développée, mais ses cheveux ne lui atteignent pas tout à fait la taille. Au moin, contrairement à la plupart des filles, ce petit détail ne la dérange point puisqu’elle aime bien avoir le physique d’une petite fille. Son visage est souvent très calme et naïf, peut-être même inquiet même lorsqu’elle ne l’est pas. Mais il lui arrive, lorsqu’elle se sent bien et qu’elle na se sent pas intimider, ce qui est très rare, que son visage change complètement pour prendre un air malicieux. Elle mesure environ 5’0 (1.52 m) , se qui n’est pas très haut et pèse 85Lb. Pour finir, comme les autres personnes de sa race, elle possède deux ailes blanches dans son dos.

Mental: Maëlis est une jeune fille au caractère très étrange. Elle peut aussi bien se montrer toute timide et ne pas parler que d’être un vrai moulin à paroles et ne faire preuve d’aucune gêne. Mais en général, Maëlis est calme, timide et réservée. La présence d’inconnu lui fait peur et elle se sent intimidée très facilement. Elle a une vraie phobie des hommes à cause de son père, son frère et du seul maître qu’elle ait eu dans sa petite vie. Elle évite donc comme la peste d’être près d’eux. Elle a toujours peur pour pas grand-chose et elle n’a vraiment pas confiance en elle. Maëlis est très curieuse. Elle veut toujours tout savoir mais la gêne l’empêche toujours de poser des questions. Elle se fait discrète et déteste avoir l’attention tournée sur elle, cela la mettant mal à l’aise. Si jamais elle fini par se sentir bien avec une personne, elle sera moin timide, pouvant même se montrer enjouée et pleine d’énergie. Elle a comme deux personnalités contraires, quoi. Maëlis aime bien rendre service aux autre. Étant une kotori, elle fut habituée à être traité comme une moin que rien et d’être aux ordres des gens supposément plus haut placé qu’elle, ce qui n’a sûrement pas aidé à sa grande timidité et à son manque de confiance en elle. Sinon, elle aime bien se balader en forêt durant les journées fraîches de printemps. Elle n’aime pas les deux extrêmes de températures. Elle attrape un rhume à rien et la chaleur l’étourdie. Elle aime les animaux, particulièrement les oiseaux (on sait pas pourquoi xD) mais, bien qu’elle soit une femme-oiseau, elle aime bien les félins. Elle a aussi une phobie de la noirceur, détestant le fait que sa vision soit moin bonne et qu’elle voit moin bien se qui se passe autour de elle.

Autre: Elle a une phobie des hommes

Comment tu as connu le forum: Top site

Vous voulez me tuer avec des fiches aussi longues > . >

Ouais bon alors je valide ta fiche. Bon jeu!!